lamétéo.info
Tech

Grâce à l’intelligence artificielle, vous pouvez désormais parler avec vos morts

Partager

L’idée de communiquer avec des proches décédés semble tout droit sortie d’un film de science-fiction, mais pour certaines entreprises basées à Shanghai, en Chine, cette possibilité est devenue une réalité grâce à l’intelligence artificielle (IA).

Une avancée technologique surprenante émerge de Shanghai, où des entreprises repoussent les frontières entre vie et mort grâce à l’intelligence artificielle. À travers des efforts soutenus, des ingénieurs ont réussi à créer des moyens permettant de maintenir un lien avec les défunts, ouvrant ainsi la voie à une toute nouvelle forme d’interaction post-mortem.

Pour parvenir à ce résultat, des données spécifiques doivent être fournies au préalable. Des photos du défunt, des enregistrements audio de sa voix, des échanges de courriels où se trouvent des expressions typiques de la personne disparue sont nécessaires pour alimenter l’algorithme.

Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux témoignent de ces échanges émouvants entre des individus et leurs proches décédés. Dans l’une de ces séquences, un homme engage une conversation vidéo avec sa grand-mère. “Bonjour mamie, comment vas-tu?” lance-t-il, et après quelques secondes de latence, la voix de la grand-mère résonne à travers l’écran, répondant avec tendresse : “Tout va bien, ça faisait longtemps”, rapporte RTL.

En Chine, cette technologie prend une forme encore plus saisissante. Des écrans géants sont érigés au milieu des cercueils dans les cimetières. Pendant les cérémonies funéraires, le visage du défunt est projeté en grand, permettant aux proches de voir et d’interagir avec lui une dernière fois, dans un moment de recueillement et de partage.


Partager

Articles similaires

Bénin Covid-19: les secteurs d’activités qui ont tiré profit des technologies et applications

Venance TONONGBE

Smartphone Separation Anxiety: Scientists Explain Why You Feel Bad

admin

Bénin : MTN et Moov Africa sanctionnés à hauteur de 4,8 milliards FCFA, la raison

Raïssa NOUGBODOHOUE

Laissez un commentaire

You cannot copy content of this page