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Un artiste camerounais ence!nte ses filles : « Les rappØrts entretenus avec mes propres filles ont été consentants »

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Un chanteur camerounais, Atangana Atangana, a été interpellé par la gendarmerie le 28 mai 2025 à Yaoundé dans le cadre d’une enquête pour inc€ste. L’affaire fait grand bruit après les déclarations troublantes de sa fille de 22 ans, qui affirme être ence!nte de son père. L’artiste, de son côté, revendique une mission « messianique » et reconnaît avoir eu un enfant avec une autre de ses filles.

À Yaoundé, l’interpellation du chanteur camerounais Atangana Atangana par la gendarmerie le 28 mai a mis au jour une affaire d’inc€ste d’une gravité exceptionnelle. L’artiste est accusé d’avoir eu des relations s*xuelles avec ses filles, l’une de 22 ans, actuellement ence!nte, et l’autre de 31 ans, avec qui il aurait déjà eu un enfant.

Selon les premières informations relayées par les médias locaux, la jeune fille de 22 ans aurait confié entretenir une relation s*xuelle avec son père. Elle affirme être ence!nte de lui et justifie cette situation par les propos tenus par ce dernier : Atangana Atangana lui aurait déclaré être en mission divine. Dans cette logique, une « lignée d’élus » serait censée naître de ses propres entrailles pour l’accompagner dans sa prétendue mission messianique sur Terre.

À la suite de son arrestation, l’artiste a rapidement recouvré la liberté et a publié un message sur son compte Facebook. Dans cette publication, il livre une version personnelle de son audition devant les autorités, reconnaissant avoir eu des r*pports avec sa fille aînée, âgée de 31 ans. Il évoque des « r*pports consentis », tout en revendiquant une légitimité d’ordre spirituel à ses actes.

‘COMPTE RENDU DE MON INTERPELLATION

Pour libérer l’Afrique ( notre devoir ) il faut se défaire des pièges contenus dans plusieurs dogmes religieux.

Tout ce que les religions impérialistes interdisent n’est pas toujours mauvais. Certaines interdictions ont été volontairement imposées par le colon afin de maintenir nos peuples dans un statut d’esclavage.

Les rapports s*xuels entretenus avec mes propres filles et moi ont été consentants, jusqu’à ce que leur mère intervienne, pour les enlever. Elle a réussi avec l’une, la faisant quitter la maison en 2022.

Aujourd’hui, parce que celle qui est restée avec moi a refusé que je contacte sa mère pour lui annoncer la naissance de l’enfant, mon ex a inventé que ma fille aînée ( ingénieure en assainissement, âgée de 31 ans ) avec qui j’ai eu un petit garçon aujourd’hui âgé d’un mois, était séquestrée.

Concernant l’accusation d’inc*ste : je ne suis pas chrétien, je suis le Christ.
Je suis animiste fondamentaliste, et ma spiritualité reconnaît l’importance du pur sang dans la société.

Notez bien ceci :
Si Dieu avait quelque chose contre le fait que le père soit le premier mari de sa fille, comme c’était le cas au commencement, il n’aurait pas permis la naissance de ce beau gosse.

Il est temps que l’Afrique recommence à reproduire ses purs sangs et sorte de l’esclavage.

Vis-à-vis de Dieu et des hommes intègres, je ne suis coupable d’aucun crime. Bien au contraire, mon devoir est de libérer l’Afrique.

Les députés doivent réviser leurs lois, au lieu de pratiquer bêtement le copier-coller des dogmes religieux.

Par ailleurs, certaines personnes complices tentent de me nuire à cause du lac d’Akak 1 que ma fille et moi aménageons, et d’autres à cause de la chefferie du groupement d’Ebang. La désignation du chef aura lieu dans deux jours, et en principe, je devrais l’emporter haut la main si un vote populaire avait lieu.

À ce propos, mon insistance à demander au préalable la publication du résultat des enquêtes sur la mort de sa majesté BETENE ANGUISSA, retrouvé sans Vie dans un puits derrière sa maison en Décembre 2018 et dont il est question de trouver un successeur, dérange quelques puissants élites du groupement d’Ébang. Ça les arrange dont, que je sois incarcéré au moment où se déroulera le vote.

Que tous les combattants panafricains et autres sympathisants qui souhaitent contribuer à mettre fin à mes persécutions (avocats, etc.) n’aient aucune gêne à le faire.

Merci à vous tous, mes amis.’


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