À 48 ans, un homme défie les stéréotypes en tant que travailleur du s3xe, préférant se définir comme “s3xothérapeute”.
Dans une interview accordée au journal “Le Monde”, Sacha brise les tabous qui entourent l’univers de la prØstitution et dévoile un aspect méconnu du travail du s3xe. “Je ne vends pas mon corps, je vends une prestation”, déclare l’homme.
Son public cible ? Des femmes de plus de 45 ans qui recherchent une vie s3xuelle épanouissante. Ces clientes, selon Sacha, ne cherchent pas simplement une aventure d’un soir, mais un suivi sur le long terme pour surmonter des difficultés s3xuelles ou retrouver une estime de soi liée à leur corps. Et pour cela, “Mes clientes, elles prennent rendez-vous un mois à l’avance. Elles ont déjà posé leur RTT et prévu à quelle heure ça se finirait”, précise-t-il.
Le parcours de Sacha l’a conduit à adopter une approche particulière de la s3xualité. “Je me définis comme ‘s3xothérapeute’, un mix entre la prØstitution et la s3xothérapie”, explique l’homme qui, dans une vie antérieure, “étais technicien supérieur en écologie.”