lamétéo.info
Actualités

Nouveaux marchés du PAG au Bénin : la vendeuse de piment ne va pas payer 500 mille FCFA pour reprendre sa place

Partager

Alors que certaines langues annoncent la somme de 500 mille francs CFA comme les frais à payer pour avoir une place dans les nouveaux marchés construits dans certaines villes du Bénin, le Porte-parole du gouvernement a démenti cette annonce en rassurant les bonnes dames futures bénéficiaires de ces infrastructures.

«Vous dites bien la pauvre vendeuse de piment et vous ne pensez quand même pas que ceux qui sont au gouvernement a commencé par le chef du gouvernement, les ministres titulaires et des sectoriels soient des gens déconnectés des réalités pour penser que la vendeuse de piment pour reprendre son exemple va débourser 500 mille pour avoir sa place. », a répondu à un journaliste, Wilfried Léandre Houngbédji Porte-parole du gouvernement face aux médias en ligne, vendredi 16 septembre.

Wilfried Léandre Houngbédji Porte-parole du gouvernement face aux médias en ligne

Selon lui, certes les marchés construits ou en construction ont un coût mais « personne ne va fixer des redevances insupportables.» Ce qui serait envisageable, c’est de catégoriser les frais à payer par les bénéficiaires en fonction de l’espace occupé.

Les bénéficiaires

Les usagers qui occupaient les anciens marchés reconstruits seront les premiers à avoir accès aux places. «Toutes les personnes qui étaient dans les marchés au moment où on a entamé les travaux sont prioritaires pour reprendre les places», a-t-il rassuré.

Quant à la mise en service des infrastructures déjà achevées, Wilfried Léandre Houngbédji a annoncé qu’elle sera effective très bientôt car il comprend l’impatience des usagers.

Melchisédech HOUNTOGAN

Partager

Articles similaires

« C’est un autre pays, le Bénin » : Le président Talon en VRP chez les investisseurs Français

Venance TONONGBE

Affaire Bizzi sur TVC Bénin : « Je suis contente que la Haac se soit saisie », Angela Kpeidja

Venance TONONGBE

Joël Aïvo en prison: des universitaires réclament sa libération

Venance TONONGBE

Laissez un commentaire

You cannot copy content of this page