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1ère rencontre avec la future belle-famille : entre bons et mauvais souvenirs, les langues se délient

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Soins corporel et vestimentaire, exercice d’expression, contrôle du rythme cardiaque…, nous sommes là en plein dans les préliminaires à la rencontre de la future belle-famille. Tout est ainsi étudié au centième près et avec beaucoup de délicatesse. Revisitant ses souvenirs de ce moment-là, un gendre confie : «J’ai décidé de porter un pantalon tergal et une chemise française manches longues bien repassée. J’ai mis une ceinture noire. J’avais mes fermées ( chaussures) et j’avais mes chaussettes qui me venaient aux mollets». Ce sont là, de petits détails encore si vivaces chez lui après trois années de mariage.

Mais ces beaux souvenirs peuvent parfois se muer en déception quand, en face, on tombe sur des beaux-parents qui ont l’art de vous faire comprendre que vous n’avez pas encore la taille des ambitions que vous affichez. Tel fut le cas de cet autre gendre toujours rongé par l’humiliation de la belle-mère :

« La toute première fois que j’ai rendu visite à ma belle-famille, c’était le jour où j’ai connu ma plus grande humiliation… Elle ( ma belle-mère) nous a dit que nous constituons un problème pour la société et c’est dans la vie de sa fille que nous trouvions à rentrer. Que le Seigneur, le sang de Jésus va nous faire retourner.» Après cinq ans de vie conjugale, cette déculottée lui revient toujours comme une hantise.

Dans tous les cas, bons ou mauvais souvenirs, les gendres ont tous connu cette fatidique première rencontre des beaux-parents.

Qu’on se rassure cependant avec l’écrivain américain, Jack London : « Les plus belles histoires commencent toujours par des naufrages.» Pour se faire donc une idée plus nette de cette rencontre mémorable pour ceux qui veulent la partager avec les autres, allons à la découverte de deux hommes à Cotonou. Tous deux mariés avec leur épouse, c’est un premier contact particulier avec la belle-famille qu’ils nous font revivre.

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