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“Je suis un coeur à prendre” : DJ Couclick dresse le portrait robot de la femme qu’il aime

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Vulcanisateur de profession depuis 7ans, et aujourd’hui, devenu star sur les réseaux sociaux grâce à son talent de Disc-jockey, Ambroise Agognon alias DJ Couclick, Sommet des Sommets a accordé une interview aux journaux Lameteo et Notre Époque, mardi soir dans son lieu de travail, véritable atelier de mixage. L’occasion pour le jeune béninois aux plus de 40 000 followers de parler de sa vie privée. Interview ! 

DJ Couclick devant sa table de mixage, au milieu des deux journalistes.

Qui a pris procession du coeur de DJ Couclick depuis qu’il s’est révélé sur la toile par son talent ?

Dj Couclick : Yesaiii… Couclick n’a validé personne. Je ne suis pas marié. Je suis un coeur à prendre. Si une femme veut s’engager, il n’y a pas de problème. Je valide!… Valider… Valeur… Yesaiii!

Sa radio de mixage, sa passion de Disc-jockey

Avec votre célébrité, il est certain que vous êtes la cible de choix de certaines jeunes filles. Quel genre de femme aimez-vous ?

J’aime les femmes claires. Teint naturel, sans produit. Forme Coca-Cola, cola, cocaïne… Yesaiii ! ( De ses mains, il dessine la forme du genre de femme qu’il aime, sourire au visage.) Mais attention ! Je ne vais pas suivre les femmes et laisser mon travail. Moi, c’est le travail qui me procure de l’argent. Si tu n’as pas d’argent personne ne s’intéresse à toi. Donc je ne suis pas un homme à femmes.

En train de réparer le pneu arrière d’une moto dont la chambre à air est percée

Justement, comment arrivez-vous à concilier votre passion de Disc-jockey et votre métier de vulcanisateur?

Je m’en sors bien. En fait tout a commencé au cours de la dernière semaine du mois de décembre 2019. J’aimais auparavant m’amuser à jouer au petit DJ avec un poste radio. Je déformais les noms de mes amis. Pour quelqu’un qui se nomme Karl, je disais: “Calef, Calé, Calebi en musique ”. Et à une semaine des fêtes de fin d’année, j’ai demandé à un ami de me filmer et de le poster sur les réseaux sociaux. A ma grande surprise, Dieu a validé… Yesaiii ! Du coup, je me suis fait entouré de deux frères comme mes managers. Pour toutes les prestations, ce sont eux qui accordent d’abord et moi je valide. C’est quand je finis de faire mon travail de l’atelier ici que je me consacre à ma passion. Je ne souhaite pas jouer sur des platines mais toujours ma radio même à l’international. Yesaiii, France, bengué bien, valider !

Son atelier…

Quelle leçon vos pairs doivent retenir de vous?

Pas seulement mes frères vulcanisateurs mais tous mes fans. Il n’y a pas de petits métiers. Et il faut croire à son talent, à sa chance. Je n’ai jamais été à l’école mais j’ai cru en moi même et je suis là. Actuellement, comme apprenti vulcanisateur, je n’ai qu’un seul. Mon voeu, c’est d’accueillir des orphelins dans mon atelier et les former. Dieu validera le reste.

Interview réalisée par Venance TONONGBE (Lameteo) et Hervé Prudence HESSOU (Notre Époque)

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